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Jacques Deretz, Naturopathe à Limoges
 
Jacques Deretz, Naturopathe à Limoges

Témoignages sur le pouvoir de la création mentale


Michel Dogna a compilé ici tous les témoignages de guérison inexpliquée. Des témoignages stupéfiants qu'il considère vrais.

Deux "miracles" dont j'ai été témoin

Comment Mireille A. a récupéré l’usage de sa main

J’ai connu Mireille en 1985 lors du premier atelier de guérison que j’avais organisé. Dans un accident de voiture, elle avait passé la main à travers le pare-brise et son nerf radial avait été sectionné net. Du coup ses trois premiers doigts ne fonctionnaient plus, et le problème était que le nerf radial étant rétracté de 17 cm, l’opération était, du moins à l’époque, inenvisageable. Il fallait donc un miracle.

Je lui ai donc suggéré de visualiser le plus clairement possible chaque jour au lever et au coucher, ces deux parties de nerf qui se rejoignent comme une racine de lumière. Le miracle, elle l’a effectué en 6 mois grâce à cet exercice quotidien. La repousse du nerf a été suivie à la radio, et Mireille a pu commencer à faire marcher ses doigts. Comble : un an après, elle refaisait de la varappe – son sport favori.
Comment Patrick S. a ressoudé sa moelle épinière Au début de l’un de mes ateliers à Uzès, un jeune homme (j’ai su ensuite qu’il avait 22 ans) est arrivé un peu en retard en marchant un peu mécaniquement comme un robot devant les yeux étonnés de tout le groupe. Après l’avoir fait asseoir, je lui ai demandé ce qui lui était arrivé. Il me répondit simplement : "Rupture de la moelle épinière". Stupeur dans la salle…
Je lui dis : "Et vous marchez ?" Et aussi laconiquement il rétorqua : "Cà m’a pris neuf mois".
Comme mise en appétit pour un cours de guérison, on ne pouvait mieux faire : un miracle vivant devant nos yeux !

Plus tard, il nous expliqua qu’il avait eu (aussi) un accident grave en voiture, et que les médecins lui avaient prédit qu’il finirait sa vie en chaise roulante. Il nous dit qu’il ne s’était pas résigné à cet avenir. Comme Mireille, il visualisa chaque matin au réveil et chaque soir avant de s’endormir, les deux morceaux de sa moelle épinière qui se rejoignaient et se ressoudaient. Il a même affiché au pied de son lit une planche anatomique de la colonne vertébrale. Un jour il eut des fourmillements dans un gros orteil – un peu plus tard il put commencer à le remuer – c’était le début de la remise en marche… Je n’ai pas osé lui demander où en étaient ses sphincters, mais j’espère pour lui qu’ils ont pu refonctionner aussi.

Deux témoignages incroyables de Marcel Violet

D(inventeur des appareils du même nom) :

¤ Histoire n° 1
Un jour, Marcel Violet reçut un coup de téléphone de la part d’un homme qui lui dit : « Bonjour monsieur Violet, je suis un lecteur de vos écrits que j’apprécie beaucoup, et je m’adresse à vous pour vous demander un service; j’ai un cancer de l’intestin arrivé au stade 5, connaîtriez-vous un très bon chirurgien capable de me tirer de là ? »
Marcel Violet lui répond : « J’ai un ami Chirurgien ; tout ce que je peux vous dire, c’est que si j’avais à être opéré, c’est à lui que je me confierais »
L’homme lui répond : « cela me suffit, j’ai confiance, pouvez-vous me dire comment le joindre ? »
Le rendez-vous fut pris pour l’opération et le chirurgien invita même Marcel Violet à y assister (en tenue stérile bien sûr). Une fois ouvert, l’abdomen du patient offrit le spectacle d’un intestin envahi d’adhérences cancéreuses trop avancées pour une quelconque intervention. Le chirurgien lança une grimace vers son ami Marcel voulant dire « foutu » - L’abdomen fut recousu dans la foulée, et à son réveil, on dit à l’homme que tout s’était parfaitement déroulé et qu’il allait pouvoir rentrer rapidement chez lui.
Trois mois s’écoulèrent, et Marcel Violet persuadé que ce monsieur était décédé depuis, reçoit un coup de fil de celui-ci qui lui dit : « Bonjour, je veux vous remercier et vous informer que je suis entièrement guéri, les analyses sont excellentes et je vais très bien. J’aimerais envoyer un cadeau à votre ami chirurgien, pourriez-vous me donner son adresse personnelle ? Merci »
Mais ce n’est pas tout : Marcel Violet raconta cette étonnante histoire à des amis, elle circula gentiment de bouche à oreille jusqu’à ce qu’elle finisse par revenir à l’intéressé deux ans après. Et que se passa t-il ?
Son cancer se réinstalla immédiatement et il décéda un mois après !
Ceci illustre bien que votre psychisme, par ce qu’il croit, peut être aussi bien votre sauveur que votre exécuteur
¤ Histoire n° 2
Un soir une équipe d’intervention du SAMU fut appelée d’urgence pour une femme venant d’être écrasée par un autobus. Il était 11 h du soir et l’équipe comprenait un médecin et deux assistants brancardiers. Dans l’éclairage des phares, ils constatèrent que l’abdomen de la femme était ouvert de part en part avec les intestins sortis. Immédiatement le médecin remarqua que les intestins étaient totalement cancérisés au milieu d’un réseau serré d’adhérences. Il pensa que cette dame n’avait devant elle qu’une espérance de survie de un à trois mois, avec probablement beaucoup de souffrances en vue. Cela valait-il le coup de la réanimer ? Il décida que non. Mais les deux autres n’étaient pas d’accord, car pour que la prime d’assistance soit validée, il faut ramener la blessée en vie à l’hôpital. Deux contre un au vote et le médecin dut obtempérer….
Trois mois s’écoulèrent, et il y eut une fête du personnel à laquelle le médecin urgentiste fut bien sûr convié. A un moment, le directeur de l’hôpital l’accosta et lui présenta une dame en lui disant : « Reconnaissez-vous cette dame ? »
Le médecin de répondre : « Bonjour madame, navré, pas vraiment »
Le directeur : « Vous rappelez-vous de la dame écrasée par un autobus à 11 h du soir ? »
- « Oui bien sûr, mais je dois vous avouer que je n’ai guère eu le temps de la dévisager vu son état » - « et bien cette dame, non seulement s’est remise de ses traumatismes, mais elle est aussi complètement guérie de son cancer ! » (Elle devait en fait la vie aux deux brancardiers….)
CONCLUSION :
Se faire écraser par un autobus est l’une des multiples façons pour guérir rapidement d’un cancer.

Deux magnifiques histoires qui m'ont été rapportées

Comment j’ai liquidé mon cancer du sein (Une femme raconte)
"Le 23 novembre, j'ai été diagnostiquée avec un cancer du sein. Mais j’ai voulu croire vraiment du fond du coeur, de toute ma foi, que j'étais déjà guérie. Tout au long de la journée, je répétais inlassablement : "Merci pour ma guérison, Merci pour ma guérison". Je me visualisais comme si le cancer n'était jamais entré dans mon corps. Une des choses que j'ai entreprises pour me soigner a été de regarder des films drôles. C'était tout ce que je voulais : rire, rire, rire. Je ne pouvais pas me permettre de mettre du stress dans ma vie, car je savais que le stress est la pire chose à vivre quand on veut guérir. Entre le moment où l'on m'a annoncé ma maladie et le moment où j'ai été complètement guérie, cela a pris environ 3 mois... et ceci sans radio thérapie, ni chimio."

Tétraplégique après un accident d’avion (la victime raconte)

"Le jour de mon crash, en mars 1981 ma vie entière a basculé. J'ai fini dans un hôpital, complètement paralysé. Ma colonne vertébrale était écrasée, il m'était impossible d'avaler, je ne pouvais pas manger ou boire, mon diaphragme était détruit, et je ne pouvais plus respirer.
La seule chose que je pouvais faire c'était CLIGNER DES YEUX. Les médecins, bien sûr, m'ont dit que je serais un "légume" pour le reste de mon existence. C'était l'image qu'ils avaient de moi, mais ce qu'ils pensaient ne m'intéressait pas. La chose la plus importante pour moi était ce que je pensais. Et j’ai établi intérieurement la gageure que je sortirai en marchant à Noël. Alors chaque jour, je me suis imaginé étant une personne normale, quittant l'hôpital en marchant... La seule chose qui fonctionnait encore dans mon corps était mon esprit, et si vous avez votre esprit, vous pouvez remettre les choses ensemble à nouveau...
J'étais branché à un respirateur artificiel et les médecins m'ont dit que je ne respirerais jamais plus sans aide extérieure puisque mon diaphragme était détruit. Mais une petite voix intérieure continuait à me dire : "Respire profondément, respire profondément". Et finalement j'ai pu me passer du respirateur artificiel. Les médecins n'avaient aucune explication. Mais je ne pouvais autoriser qui que ce soit à me distraire de mon objectif et de ma vision de guérison.
Je m'étais fixé l'objectif de marcher hors de l'hôpital pour Noël. Huit mois plus tard, je suis sorti de l'hôpital sur mes deux jambes. Les médecins disaient que ce n'était pas possible. C'est un jour que je n'oublierais jamais…… Si j’ai un message à transmettre à ceux qui lisent le témoignage de mon aventure, c’est : L'HOMME DEVIENT CE QU'IL PENSE."

Une euthanasie programmée

Ce rapport scientifique m’a été raconté par un ami pilote de ligne, et a été réalisée aux Etats Unis en milieu carcéral sur un condamné à mort. On lui a demandé s’il acceptait que l’on remplace l’injection mortelle classique par la morsure d’un serpent qui entraîne la mort instantanée. A tout prendre, mort pour mort, il accepta. On lui montra le serpent puis on lui banda les yeux. Il fut piqué par une seringue sèche…. et mourut instantanément par arrêt cardiaque !
Mais ce n’est pas tout : On analysa aussitôt son sang, et l’on y décela du venin du serpent en question !

Extrait du e-book : CANCERS guérir hors protocoles (téléchargeable gratuitement sur www.mocheldogna.fr )


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